MORAL, adjectif
Définition de moral
adjectif masculin singulier | |
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aussi :
Exemples d'utilisation de moral
force morale"ils se rappelaient cette force morale qui les avait aidés non seulement à repousser l'ennemi, mais à triompher d'eux-mêmes dans l'accomplissement d'un devoir qui exigeait tous les sacrifices." (Gaston Leroux 1919 "Fatalitas")
loi morale
"Il s'ensuit une espèce de survalorisation mystique des actes correspondants, qui les élève au-dessus de la loi morale commune et leur donne une valeur plus grande que celle qui découle, pour les actes ordinaires, de leurs effets immédiats." (Henri de Man 1926 "Au-delà du marxisme")
obligation morale
"C'est son obligation morale envers le monde qui le gênait." (Erle Cox 1925 "La Sphère d'or")
ordre moral
"Tout l'ordre moral est comme bouleversé pour moi par cet incompréhensible mécompte." (François-René de Chateaubriand 1903 "Correspondance de Chateaubriand avec la Marquise de V...")
qualités morales
"Je lui découvris de grandes qualités morales." (Anatole France 1903 "Crainquebille, Putois, Riquet et plusieurs autres récits profitables")
responsabilité morale
"Lors même qu'il croirait qu'une administration bonne et habile peut exister chez un peuple gouverné par une autre volonté que la sienne, la conscience qu'il a de faire lui-même sa destinée sous sa responsabilité morale, serait une compensation qui effacerait à ses yeux beaucoup de grossièretés et d'imperfections de détail dans l'administration des affaires publiques." (John Stuart Mill 1869 "De l'assujettissement des femmes")
valeurs morales
"Soucieux de restaurer les valeurs morales et spirituelles, de garantir notre indépendance politique, économique et culturelle, d'assurer les bienfaits de la liberté à nous-mêmes et à notre postérité dans le cadre du projet de la nouvelle société démocratique." (Collectif 1994 "Acte constitutionnel de la transition de la République du Zaïre (1994-1997)")
vertus morales
"Des vertus morales." (Thomas Pègues 1919 "Catéchisme de la Somme théologique")
vie morale
"Tout être humain qui a l'usage de la raison est tenu à une certaine forme de jeûne ou de privation proportionnée au besoin de la vertu dans sa vie morale." (Thomas Pègues 1919 "Catéchisme de la Somme théologique")