BIELLE, nom
Définition de bielle
nom féminin singulier | |
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Synonymes de bielle
Exemples d'utilisation de bielle
longueur de bielle"A l'autre extrême, une contrainte d'encombrement, mais aussi de résistance au flambage (ou flambement) limite la longueur de bielle." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")
tête de bielle
"Il en fit lentement le tour, feignant un intérêt passionné pour la tête de bielle, le grand pignon de l'engrenage ou les doigts de la barre de coupe." (Claude Michelet 1979 "Des grives aux loups")
longue bielle
"une longue bielle rend aussi le moteur moins compact et sera forcément plus lourde." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")
énorme bielle
"les cuivres luisaient, les gros membres d'acier avaient un air de muscles indestructibles, l'énorme bielle, repliée en l'air, ressemblait au puissant genou d'un géant, couché et tranquille dans sa force." (Émile Zola 1885 "Germinal")
actionne la bielle
"La tige de piston actionne la bielle couplée au train de roues motrices par l'intermédiaire de la crosse articulée (5)." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")
entraîne la bielle
"Ce dernier entraîne la bielle qui est articulée dessus, elle est fixée aussi sur le volant d'inertie en un point excentré de son axe de rotation, son mouvement provoque donc une rotation du volant." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")
bielle de réaction
"une bielle de réaction pendait sous la machine." (Le Monde 2000 "Extrait du Monde de 2000")
bielles de la locomotive
"Pour comble de malheur, on découvrit que les bielles de la locomotive s'étaient brisées sous la résistance du poids à déplacer." (Mark Twain 1907 "Plus fort que Sherlock Holmès")
bielles de machine
"Cet athlète - "il faut le voir pour le croire", dirait-on de lui, - avait près de six pieds de haut, la tête volumineuse, les épaules à proportion, la poitrine comme un soufflet de forge, les jambes comme des baliveaux de douze ans, les bras comme des bielles de machine, les mains comme des cisailles." (Jules Verne 1885 "Mathias Sandorf")