PASSEREAU, nom
Définition de passereau
nom masculin singulier | |
|
Synonymes de passereau
- passériforme, geai
Exemples d'utilisation de passereau
espèces de passereaux"si je l'ai fait, c'est que, quand je commençai à élever des pigeons et à en observer les différentes espèces, j'étais tout aussi peu disposé à admettre, sachant avec quelle fidélité les diverses races se reproduisent, qu'elles descendent toutes d'une même espèce mère et qu'elles se sont formées depuis qu'elles sont réduites en domesticité, que le serait tout naturaliste à accepter la même conclusion à l'égard des nombreuses espèces de passereaux ou de tout autre groupe naturel d'oiseaux sauvages." (Charles Darwin 1859 "De l'origine des espèces")
famille des passereaux
"La famille des passereaux, des volatiles pas commodes." (Guillaume Nicloux 1998 "Monsieur Chance")
vols de passereaux
"De grands vols de passereaux, ronflant comme averse d'orage, tourbillonnaient soudain à l'orée, denses à obscurcir le ciel." (Maurice Genevoix 1967 "La forêt perdue")
humble passereau
"Bat à coups cadencés la gerbe répandue, Où la blanche colombe et l'humble passereau" (Alphonse de Lamartine 1830 "Harmonies poétiques et religieuses")
petit passereau
"Au même instant un petit passereau peureux s'envole, monte droit dans l'air et jette en notes claires son chant joyeux ." (Charles Renel 1915 "La coutume des ancêtres")
passereau présent
"Le choucador à oreillons bleus (Lamprotornis chalybaeus), ou merle bronzé vert, ou étourneau métallique commun, ou merle métallique à oreillons bleus, ou merle métallique commun, est un passereau présent en Afrique." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")
les passereaux crient
"Quand les passereaux crient sur le gazon blanc de gelée, les huit blessés saluent aussi l'aube rouge, d'un cri plus vif, d'un soupir plus haut, d'un juron étouffé où reparaissent la vie et le rire." (Sidonie Gabrielle Colette 1917 "Les heures longues")
les passereaux viennent
"Que de leur main étroite ils laissent retomber, Et que les passereaux viennent leur dérober." (Alphonse de Lamartine 1836 "Jocelyn")