GOSSE, nom
Définition de gosse
nom singulier invariant en genre | |
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aussi :
Synonymes de gosse
Contraires de gosse
Exemples d'utilisation de gosse
bandes de gosses"des bandes de gosses aux pieds nus couraient dans les rues, et, avec le flair que procure l'expérience, ils eurent tôt fait d'identifier les visiteurs." (Thierry Jonquet 1993 "Les orpailleurs")
rêve de gosse
"Un rêve de gosse qui se réalisait enfin." (Frédéric H. Fajardie 1985 "Brouillard d'automne")
sourire de gosse
"Une incisive cassée en oblique lui fait un sourire de gosse mal élevé." (Tonino Benacquista 1992 "Les Morsures de l'aube")
beau gosse
"Ses dents parfaites étincelaient dans son visage bronzé de beau gosse élevé au golf, au tennis et à tout ce qui faisait rêver les pauvres." (Patrick Raynal 1995 "Arrêtez le carrelage")
beaux gosses
"Je dois lâcher dessus deux beaux gosses chargés de leur prendre le porte-monnaie." (Albert Londres 1927 "Le chemin de Buenos-Aires")
grand gosse
"Accusez le magnétisme animal ou ce que vous voudrez, mais le petit bonhomme menait le grand gosse par le bout du nez." (Arthur Conan Doyle 1922 "Contes de l'eau bleue")
pauvre gosse
"Et lui pauvre gosse." (Pierre Filoche 1996 "Le banquet des ogres")
petit gosse
"Tout à coup, par un miracle que lui avait gagné sa longue vie de travail, il aperçut le petit gosse qui l'avait écrite, cette page." (Jules Renard 1897-1910 "Journal 1887-1910")
sale gosse
"On dit que c'est un sale gosse, un vagabond, un vrai casse-cou..." (Carlo Collodi 1902 "Les Aventures de Pinocchio")
gosses de riches
"Sans doute y avait-il, il y a quelques minutes encore, une quarantaine de gosses de riches avec une demi-douzaine de chahuteurs expérimentés et quelques fils de concierge en souffre-douleur." (Régis Debray 1992 "Contretemps")
gosses du quartier
"J'avais la même couleur que les autres, la même tête, j'avais entendu parler de religions différentes et on m'avait appris à l'école que des gens s'étaient battus autrefois pour cela, mais moi je n'avais pas de religion, le jeudi j'allais même au patronage avec d'autres gosses du quartier, on faisait du basket derrière l'église, j'aimais bien cela et à l'heure du goûter, l'abbé nous donnait un gros casse-croûte, du pain gris avec du chocolat fourré, le chocolat de l'occupation avec une pâte blanche au milieu, un peu gluante et vaguement sucrée." (Joseph Joffo 1973 "Un sac de billes")