CHAMPIONNAT, nom
Définition de championnat
| nom masculin singulier | |
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Contraires de championnat
Exemples d'utilisation de championnat
buteur du championnat"Ils repartaient dans leur sélection nationale bardés de titres de meilleur buteur du championnat français." (Le Monde 1992 "Extrait du Monde de juin 1992")
finale du championnat
"Entre les demi-finales et la finale du championnat de France de rugby, l'affaire vaut qu'on y prête attention." (Antoine Blondin 1982 "Ma vie entre les lignes")
match de championnat
"Comme dans un match de championnat, vous pourrez suivre la partie grâce à l'écran qui se trouve derrière moi." (Bernard Lentéric 1991 "Vol avec effraction douce")
nouveau championnat
"TIJ(1)=Un nouveau championnat de rugby à quarante clubs" (Le Monde 1995 "Extrait du Monde de janvier 1995")
premiers championnats
"TIJ(1)=La lutte traditionnelle africaine s'offre ses premiers championnats" (Le Monde 1995 "Extrait du Monde d'avril 1995")
prochains championnats
"Lors des prochains championnats du monde, en effet, le tandem ne figurera plus au programme." (Le Monde 1994 "Extrait du Monde d'août 1994")
championnat italien
"Après deux saisons de championnat italien, il n'a aucun regret:" (Le Monde 1992 "Extrait du Monde de juin 1992")
championnat mondial
"Nous avons hâte de voir les futures étoiles participer au championnat mondial." (Hansard 1996-2005 "Débats du parlement canadien")
championnat national
"L'équipe de la Jeunesse sportive de Kabylie a gagné à Alger, en décembre 1995, la finale de la Coupe d'Afrique des clubs vainqueurs de coupe, et le Rwanda a même organisé et joué son championnat national." (Le Monde Diplomatique 1990-2007 "Article du Monde Diplomatique")
championnat professionnel
"(championnat professionnel japonais), qui devrait souscrire un peu plus d'un tiers du capital." (Le Monde 1995 "Extrait du Monde d'avril 1995")
championnats nationaux
"Manitoba a enlevé tous les honneurs aux championnats nationaux de curling." (Hansard 1996-2005 "Débats du parlement canadien")
championnat du monde
"Ses tics boxeur l'avaient repris et, infatigable, du matin au soir, il faisait son shadow avec autant de conscience que s'il préparait le championnat du monde, soufflant bruyamment d'une narine en poussant avec son pouce sur l'autre pour balancer avec plus de force un jet de morve, en vrai pro." (André Lacaze 1978 "Le tunnel")
