ÊTRE, verbe
Définition de être
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Expressions françaises avec être
Être de raison Philosophie. : Chose qui n'existe que de pensée (par opposition à réalité)En être : Être parvenu à un certain point.
En être pour sa peine : Avoir perdu sa peine.
En être à : Se voir réduit ("j'en suis à mendier ma pitance")
Y être : Être chez soi (au sens figuré, comprendre)
Être à : Indique la possession ("ce livre est à lui") et indique aussi l'occupation ("il est tout à son travail, il ne voit pas le temps passé")
Être de : Provenir ("je suis de Provence", "ce livre est de moi") faire partie de ("soyez des nôtres prochainement")
Être en : Être vêtu de ("elle était en bleu clair")
Être pour : Apporter son soutien, son approbation ("je suis pour la liberté de la presse")
Être sans : Manquer de ("elle est sans le sou")
Il n'est que de : Il n'y a qu'à.
Je suis charlie : Adage de soutien au journal "Charlie hebdo", suite à la tuerie du 7 janvier 2015.
Voir
aussi :
Difficultés de être
GrammaireIl est De nombreuses fautes sont fréquentes dans la conjugaison de "être", les formes suivantes sont fautives : ["que je soie, que nous soyions, que vous soyiez"].Une présentation générale déborderait largement le cadre de cette aide ponctuelle, faites simplement attention aux principales fautes commises autour de "être":Toujours singulier, équivalent de "il y a" : "il est des hommes pour qui...".Toujours singulier et toujours avec un accent. Ne déformez pas en "fusse".S'accorde : "n'étaient les souvenirs, j'aurais abandonné ce pays ingrat".Jamais d'accent sur le "u".La tendance est à l'invariabilité (mais l'accord n'est pas fautif).Ne s'emploie jamais dans l'interrogation indirecte : "demande-lui s'il veut intervenir" et non ["demande-lui est-ce qu'il veut intervenir"].